
Itinéraires sinchrones – l’exposition au LIHP nov 2018.
Paris, Saint-Denis

Le dialogue des contrastes et des similitudes c’est enclenché découvrant des correspondances des questionnements des télescopages entre Buenos Aires et Marseille, interrogeant notre espace fait d’interstice entre la mer le fleuve ou la ville.
Des espaces de circulations d’où se déroule des actions interdépendantes à travers des images abstraites et concrètes. Ce dialogue des espaces mets en évidence des séries d’images, des ramifications en rhizomes qui interagissent entres elles sur des registres, et interfaces différentes entre l’architecture, l’urbanisme et la nature, mais aussi sur des interstices parfois floues. Des télescopages visuels fait d’extraits de différentes typologies urbaines brouillant les pistes d’une explication simple. L’itinéraire est ici notre mode de traversée, sans jamais rester, récoltant nos impressions, allant d’un endroit l’autre. Traversées non linéaires, nous buttant sur des lignes infranchissables, des zones improbables ou transformées mais dont les stigmates forment des similitudes que nos images peuvent révéler dans des séquences alternant le délaissé autant que l’appropriation spatiale.
De ces itinéraires entre nous est né cet échange de réalités cartographié. Une mémoire visuelle de territoires.
Les modes de visualisations de ce travail peuvent être multiples, autant dans une projection permettant des images multiples dans un ou plusieurs écrans, que dans le collage mural ou sur table d’extraits sur papier.

Nous élaborons
une ligne graphique générale en nous basant sur un choix partagé d’un certain nombre de tracés GPS symbolisant nos parcours respectifs.Ces tracés choisis sont ensuite reproduit à l’échelle 1 sur un matériaux ruban noir repositionnable et posé sur les différents murs de l’espace du LIHP








